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LanaLecteur en chef
- Messages : 10119
Date d'inscription : 09/10/2015
Age : 40
Localisation : Au coeur de la Champagne
CETTE VERITE QUE L'ON DOIT AU MORT de Sophie Mancel-Hainneville
Mar 22 Nov 2022 - 11:03
Résumé
Le juge Adriano Fragetti, brillant magistrat italien, est désigné pour devenir Procureur Général à Rome. Un journaliste déterre l’histoire ignominieuse de son père condamné à la prison à perpétuité en France pour trois homicides. Vingt ans plus tôt Roger Fragetti a assassiné son épouse Katia, la mère d’Adriano, et laissé mourir sur le bord d’une route deux femmes. Clara Vallier une jeune avocate est chargée de lever le voile sur cette sombre histoire qui s’est soldée par le meurtre de Roger Fragetti après sa condamnation. C’est l’occasion pour elle de retourner à Nice, la ville de ses souvenirs d’enfance. Deux policiers vont se joindre à l’avocate pour décortiquer l’abondant dossier judiciaire de cette ancienne affaire. Clara Vallier va-t-elle découvrir une autre vérité, celle que l’on doit aux morts ?
232 pages
Ex Aequo éditions
10 septembre 2022
Ex Aequo éditions
10 septembre 2022
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Re: CETTE VERITE QUE L'ON DOIT AU MORT de Sophie Mancel-Hainneville
Lun 12 Déc 2022 - 21:16
Je remercie les Editions Ex aequo pour m’avoir proposé ce roman en service presse.
Adriano Fragetti va prochainement être nommé procureur général à Rome, mais des journalistes peu scrupuleux ont déterré l’histoire de son père condamné à perpétuité il y a de ça 20 ans.
Agé de 15 ans à l’époque il a été écarté des recherches et envoyé en Italie pour son bien. Aujourd’hui il reste convaincu de l'innocence de son père, Il va donc faire appel au cabinet de Maître Lesnard pour rouvrir l’enquête.
C’est Clara Vallier, une jeune avocate qui est missionnée pour découvrir la vérité sur ce cold case.
Elle se rend donc à Nice, une ville qu’elle connaît bien et qui l’a vue grandir mais où elle n’a pas remis les pieds depuis le décès de sa grand-mère. Elle va y faire la rencontre de Salvator Ramiro, un retraité de la police judiciaire qui pourra l’aider dans sa mission.
Mais Clara est loin de se douter de ce qui l’attend en dépoussiérant ce dossier
J’ai découvert Sophie Hancel avec son roman TUEZ LES TOUTES que j’avais beaucoup apprécié (clic sur la photo pour découvrir la fiche de lecture et mon avis).
Dans ce cold case, le rythme de l’enquête n’est pas soutenu comme dans un fait récent (eh oui c’est normal hein !) et de ce fait je n’ai pas ressenti l’angoisse habituelle que j’ai à la lecture d’un policier/thriller.
Clara, Salvatore et Paolo vont faire équipe. Ils vont relire les dépositions, plonger dans le passé avec un regard neuf, découvrir les failles du dossier, souffrir émotionnellement de ce retour dans le passé jusqu'à découvrir l’entière vérité.
L’auteure à une plume riche et descriptive qui met à nue les protagonistes.
Chaque personnage est bien étudié et travaillé, cette petite équipe pourrait résoudre d'autres cold case et ainsi faire de ce roman une saga où les personnages pourraient encore évoluer.
En bref : un cold case qui nous même sur les traces d'un passé riche en émotion mais pour lequel je n'ai pas été transporté.
Adriano Fragetti va prochainement être nommé procureur général à Rome, mais des journalistes peu scrupuleux ont déterré l’histoire de son père condamné à perpétuité il y a de ça 20 ans.
Agé de 15 ans à l’époque il a été écarté des recherches et envoyé en Italie pour son bien. Aujourd’hui il reste convaincu de l'innocence de son père, Il va donc faire appel au cabinet de Maître Lesnard pour rouvrir l’enquête.
C’est Clara Vallier, une jeune avocate qui est missionnée pour découvrir la vérité sur ce cold case.
Elle se rend donc à Nice, une ville qu’elle connaît bien et qui l’a vue grandir mais où elle n’a pas remis les pieds depuis le décès de sa grand-mère. Elle va y faire la rencontre de Salvator Ramiro, un retraité de la police judiciaire qui pourra l’aider dans sa mission.
Mais Clara est loin de se douter de ce qui l’attend en dépoussiérant ce dossier
J’ai découvert Sophie Hancel avec son roman TUEZ LES TOUTES que j’avais beaucoup apprécié (clic sur la photo pour découvrir la fiche de lecture et mon avis).
Dans ce cold case, le rythme de l’enquête n’est pas soutenu comme dans un fait récent (eh oui c’est normal hein !) et de ce fait je n’ai pas ressenti l’angoisse habituelle que j’ai à la lecture d’un policier/thriller.
Clara, Salvatore et Paolo vont faire équipe. Ils vont relire les dépositions, plonger dans le passé avec un regard neuf, découvrir les failles du dossier, souffrir émotionnellement de ce retour dans le passé jusqu'à découvrir l’entière vérité.
L’auteure à une plume riche et descriptive qui met à nue les protagonistes.
Chaque personnage est bien étudié et travaillé, cette petite équipe pourrait résoudre d'autres cold case et ainsi faire de ce roman une saga où les personnages pourraient encore évoluer.
En bref : un cold case qui nous même sur les traces d'un passé riche en émotion mais pour lequel je n'ai pas été transporté.
*** Extraits ***
J’entend encore ses paroles lorsqu’il demande simplement de comprendre pourquoi son père à tuer sa mère, la femme qu’il aimait. C’est uniquement pour ça, pour lui révéler toute la vérité que je vais fouiller les tréfonds de cette sordide affaire. Pour que cet homme, à l’aube de ses quarante ans, puisse enfin vivre vraiment.
***
Je ne rentre pas à Paris et je vais jusqu’au bout de cette affaire. Et croyez-moi, je ne suis pas prête à laisser tomber. Vous savez je me suis souvenue ce matin d’une parole tirée de l’OEdipe de Voltaire :
“On doit des égards aux vivants.
on ne doit aux morts que la vérité”
***
J’entend encore ses paroles lorsqu’il demande simplement de comprendre pourquoi son père à tuer sa mère, la femme qu’il aimait. C’est uniquement pour ça, pour lui révéler toute la vérité que je vais fouiller les tréfonds de cette sordide affaire. Pour que cet homme, à l’aube de ses quarante ans, puisse enfin vivre vraiment.
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Je ne rentre pas à Paris et je vais jusqu’au bout de cette affaire. Et croyez-moi, je ne suis pas prête à laisser tomber. Vous savez je me suis souvenue ce matin d’une parole tirée de l’OEdipe de Voltaire :
“On doit des égards aux vivants.
on ne doit aux morts que la vérité”
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